Qui suis-je ?
Le commencement
Aider les autres est ma vocation.
Certaines personnes parmi nous sont nées et vivent dans ce monde pour aider les personnes en détresse. Nous avons d’excellents exemples de gens du monde entier qui consacrent leur vie à aider les autres. Mère Thérèsa, l’Abbé Pierre…
Je ne me considère pas comme tel évidement mais pour moi aider les autres est une chose naturelle.
Depuis mon enfance dès que quelqu’un est dans le besoin je cherche une solution pour aider ce dernier à être mieux.
Je me suis donc très vite tournée vers le domaine social.
Je suis travailleur social de formation. J’accompagne depuis une dizaine d’années, dans diverses institutions, des adultes, enfants, adolescents, personnes âgées qui ont des difficultés d’ordres sociales, physiques et/ou psychologiques.
Ce qui a changé ma vie
En 2019, gros craquage professionnel. Je ne me retrouve plus dans les accompagnements que je suis censée mener, ni même dans l’institution où j’exerce. Le social d’aujourd’hui ne correspond plus vraiment à l’idéal que je m’en était fait au début de ma carrière.
En 2020, je tombe enceinte de mon troisième enfant. J’ai déjà deux filles de 6 et 11 ans. En juillet, lors de mon échographie du deuxième trimestre, on nous apprends que notre fils a une malformation congénitale. Plus précisément une cardiopathie congénitale. Là, la terre s’effondre sous mes pieds et va continuer à s’effondrer encore… Une amniocentèse va révéler que notre fils a une délétion d’un certain chromosome qui peut, peut être, par la suite conduire à des retards moteur, d’apprentissage ou rien du tout finalement. Cette délétion est un gène qui vient de moi et sûrement de l’un de mes parents. Je me suis donc mise à me documenter. À me poser des milliers de questions sur les origines de la maladie et les liens avec la généalogie. Dans ma famille proche, je suis entourée de personne ayant été touché durement par le cancer.
La maladie est-elle dans les gênes ? Je me suis interrogé sur les inégalités de chacun face à la maladie. Pourquoi cela touche notre enfant ? Pourquoi lui, alors que nos deux filles n’ont rien ? Mais pourquoi ? C’est une bonne question.
Avec le biodecodage, je commence a comprendre le mécanisme des symptômes.
J’ai connu le neurofeedback par ma cardio-pédiatre. Mon fils ayant subit une très grosse opération à 6 jours de vie, il a eu beaucoup de mal par la suite à trouver le sommeil. Dès qu’on le couchait, il se tortillait, gémissait. Il finissait par s’endormir mais on voyait bien qu’il y avait quelque chose d’autre. En pleine nuit on le surprenait à pleurer, à faire des bruits. Il dormait très mal. Il nous a fallu une seule séance de neurofeedback pour qu’il retrouve son calme et un sommeil plus serein. Les effets se sont dissipés en 3 jours nous avons dû refaire 4 séances pour que ses angoisses disparaissent complètement.
A ce jour notre fils a retrouvé un sommeil réparateur, et c’est tout ce qu’il fallait à ce petit bout pour se concentrer à affronter sa malformation. Mes filles ont également bénéficié de séances, la plus grande 11 ans pour de l’anxiété et pour retrouver son sommeil (6 séances ont été nécessaires) et la seconde 6 ans pour gérer ses émotions (4 séances nécessaires).
Et moi évidemment le Neurofeedback m’a aidé à prendre confiance en moi pour structurer et développer au mieux ce projet.
Dans la famille le Neurofeedback nous a aidé à retrouver la sérénité. D’où ma volonté d’en faire bénéficier le plus grand monde.
Suivre ma route
J’entrouvre donc une porte que je ne refermerai certainement jamais. Je souhaitais comprendre, apprendre de mes observations et de mes expériences dans une pratique me permettant un jour d’aider durablement les autres.
J’ai alors commencé par me demander ce que j’avais VRAIMENT envie de vivre dans cette vie, puis, comment il fallait que je m’y prenne pour y parvenir.
J’ai quitté mon poste de Conseillère en Economie Sociale et Familiale pour me reconvertir dans un métier qui me comble plus, dans lequel je peux tirer parti de mon expérience pour accompagner ceux qui le souhaitent à la découverte de qui ils sont réellement : le pouvoir d’améliorer quelque chose dans leur vie et pourquoi pas dans celle des autres !
Je me suis formée à plusieurs méthodes complémentaires :
Mon accompagnement
Je pense que dans la vie TOUT EST POSSIBLE. Quelle que soit notre vision. Peut importe ce que nous vivons. Nous pouvons changer et nous améliorer. Tirer partie de la meilleure facette de nous même. Quand nous arrivons à changer notre vision des choses et la façon dont nous le vivons a l’intérieur, TOUT peux devenir POSSIBLE.
LE BONHEUR EST UN CHOIX
Il se ressent au plus profond de nous. Il faut parfois juste apprendre à l’écouter et à l’extérioriser. Choisissez de vivre la vie que vous voulez vivre. Libérez vous !!
Le cabinet